(dossier de presse complet disponible sur simple demande auprès de 

YAPPUCA Productions, 10/12 rue Jean Guy 35 000 Rennes - tel: 02 99 67 63 31)

- extraits ci dessous mis à jour au 05 avril 2002 -

    EXTRAITS

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Télérama

"clou du festival, Dahlia, duo guitare violoncelle dont les mélodies envoûtantes et les auto-samples nous entraînent, avec le plus grand bonheur, quelque part entre Murat, Giant Sand et 16 Horsepower. (…) "

 

Buzz

"Le Folk Urbain de DAhLIA, sombre et mélancolique, délicat et introverti, mêle guitare et violoncelle, remue les tripes et exacerbe les sentiments"

 

Pump

"DAhLIA nous présente une musique simple, efficace, chaleureuse qui se découvre donc avec respect"

 

Abus Dangereux

"Pop accoustique et léchée, légère ou mélancolique, qui utilise avec talent un violoncelle et des bruitages électroniques"

 

Ouest France

"Les mélodies de DAhLIA restent longtemps en tête. C'est trés bon signe"

 

Lyon Figaro

Dahlia mérite un coup de projecteur pour sa pop acide au venin addictif"

 

Longueur d'Ondes

"La pop subtile de ce duo pourrait être le chaînon manquant entre la nouvelle scène rennaise et Marquis de Sade"

      TEXTES

Télérama

n° 2715 (26 janvier 2002)

 

Les douze formations de cette sixième édition ont chacun des arguments à faire valoir et il ne serait pas étonnant de les voir bientôt rivaliser avec les ténors de la pop française. La soirée du 24 s’annonce la plus riche avec l’octet Goo Goo Blown qui célèbre une rencontre inattendue entre Danny Elfman (BOF de Tim Burton) et Placebo ; Daisybox (ex-Daisy) qui opte pour une pop plus noisy et nerveuse de bonne tenue ; et, clou du festival, Dahlia, duo guitare violoncelle dont les mélodies envoûtantes et les auto-samples nous entraînent, avec le plus grand bonheur, quelque part entre Murat, Giant Sand et 16 Horsepower. (…)  
   

Ouest France

Lundi 3 Dec 2001 (Bilan des Trans)  

 

Du plateau des artistes de l’Ouest, on peut retenir les passages réussis de Bikini Machine, l’univers indien de Pandip et la prestation de Dahlia. De son apparition à l’Antipode il y a un an, en passant par son succes à Bourges, jusqu’au Village des Trans, ce duo Rennais continue à progresser porté par la voix deGuillaume et les langueurs du violoncelle d’Armel. Les mélodies de Dahlia restent longtemps en tête. C’est très bon signe.  
   

BUZZ

n° 52 (sept 2001)

 

Voici le troisième single du duo rennais, très remaqué au Printemps de Bourges puisqu’il a obtenu le prix “Attention Talents Scène” dans la catégorie pop-rock. Pop Atmosphérique ? Rock urbain ? Les étiquettes n’ont aucune importance car Dahlia c’est avant tout brillant et inspiré. Les mélodies sont belles, émaillées de trouvailles sonores. Le violoncelle apporte parfois une touche saisissante de mélancolie alors que d’autres compos offrent des ambiances parfaitement power pop (« Gravity »). Entre maturité musicale et fragilité émotionnelle, Dahlia se fraie un chemin sur le fil du rasoir. Vivement l’album, qui ne saurait tarder.
   

Musical Contact, 

(oct-nov 2001)

http://musicalnews.ifrance.fr/musicalnews

Dahlia, duo Rennais formé il y a déjà 7 ans sous le nom d'Acoustic Flush, puis renomé en mars 99 pour l'enregistrement de leur premier EP "Beads of word", pourrait être l'un des groupes sur lesquels il faudra compter dans les mois à venir. Fort d'un succès remarquable au dernier Preintemps de Bourge, Armel et Guillaume nous entraînent par leur association plutôt atypique (un guitariste et un Violoncelliste), dans un univers sombre et intimiste. Alors que leur premier album est en cours de finalisation, leur dernier EP, et plus particulièrement le titre "Contre courant", se démarque des productions actuelles par le savant mélange du chant phrasé et mélodique, style déjà usité par les Strasbourgeois de Katonoma, mais ici parfaitement intégré à une structure musicale életro acoustique qui nous enchante ...

   

 Abus Dangereux, 

n° 74 (oct-nov 2001)

Nouveau 4 titres pour le duo Rennais, pop acoustique et léchée, légère ou mélancolique qui utilise avec talent un violoncelle et des bruitages électroniques. "Contre Courant ", seul chanté en français joue le rôle du single parfait qui à laisser à part les trois autres. Attention à la tentation! Dahlia en trés agréable progrès, avant l'album à venir. (Philippe Couderc)

   

Longueur d'Ondes

été 2001

DAhLIA

La pop de Dahlia aspire à un plus ample développement que ce quatre titres au demeurant fort méritoire. Mention spéciale à « Contre courant », sans conteste le chemin à suivre.

   

 PUMP

Mai 2001

DAhLIA – La Hune- 18 avril 12h45

Les personnes présentes dans la salle ont été comblées par les sonorités envoutantes des deux musiciens. Les Bretons, à défaut de n’avoir que des tonneaux ronds, ont préféré s’acccompagner de machines simplement programmées, sans jamais en abuser ou rajouter trop d’arrangements. Le chanteur guitariste, à la voix pop et mélodieuse, est soutenu par un violonceliste qui apporte une touche plus « brutale » et plus « lourde à leur style. Le chant anglophone, très bien maîtrisé, a tout de même cédé la place à un superbe texte en français. On a pu, dés lors, presque leur reprocher de privilégier le « pudding mentholé » dans leurs textes. Avec juste un tableau se balancant dans le vide, un lampadaire, et un light show style musique d’ambiance, Dahlia a su nous présenter une musique simple, efficace, et chaleureuse qui se découvre donc avec respect.

   

La Nouvelle République du Centre,

 19.04.01

Duo un peu sombre, dahlia a pourtant laissé parler son savoir faire et a été un des groupes convaincants hier à la Soute. Seulement deux sur scène, avec un abat jour pour créer une ambiance intimiste, le duo s’aide toutefois de machines pour produire des compositions torturées et hantées par le violoncelle sur lesquelles plane une vraie voix qui n’hésite pas à chanter souvent en anglais. Le résultat n’est pas très réjouissant mais le talent et la maîtrise sont indéniablement au rendez-vous.  

   

Le Berry Républicain, 19.04.01 Le Dahlia Noir. Un abat jour branché sur 110 volts, une ambiance qui serait feutrée voire intime, si elle n’était pas dépressive et mélancolique. Dahlia, duo breton faisant penser immanquablement à Superflu, distille son spleen acoustique : une guitare qui pleure, un violoncelle qui sanglote. Déprimant ? Non car l’énergie qu’ils déploient, portée par une voix oscillant entre Jean Louis Aubert et Sheik Duncan n’en est que plus palpable.
   

Infoconcert.com 

12 avril 2001

 

Nouveau venu sur la scène française, ce duo breton risque de faire des ravages avec sa pop douce et mélancolique, parfois exacerbée de colère rentrée.

Rencontre réussie entre un brestois, grandi au son de la pop et de la musique anglo-saxonne, violoncelliste de son état, et Guillaume, chanteur-guitariste rennais, éxilé aux Etats-Unis ou il découvre le blues. Pop-rock acoustique traversée d’électricité aux mélodies simples et efficaces, la musique de Dahlia (ils firent leurs débuts avec Acoustic Flush) accroche. Guillaume dévoile ses textes en anglais puis français, armé de sa guitare. Armel, au violoncelle, accompagne, exalte, transcende. Mélange simple aux sonorités lumineuses et intimistes, leur musique divague et parcourt des territoires personnels enrichis de rythmiques traffiquées, sons bidouillés et mélodies habitées. Si le duo utilise en studio de nombreux instruments, il est nettement plus brut sur scène, jouant sur l’émotion et l’énergie. En attendant un premier album, les Bretons nous mettent l’eau à la bouche avec leurs quatre titres autoproduits. Découverte du Printemps de Bourges 2001, ils risquent de ne pas s’arrêter en si bon chemin…  

   
Le zatapathique
www.zata.free.fr 
Sept 2000

 

Dahlia cultive une pop mélancolique. Ce groupe français sonne très américain (16 Horsepower ou les ex Franco-américains de Passion Fodder viennent à l’esprit avec un usage intéressant du violon). Vous pouvez découvrir leurs compositions via leur site web (avec des extraits en attendant un album actuellement en  enregistrement.)
   

Abus Dangereux

N° Oct 1999

 

 

DAhLIA est un duo acoustique originaire de la région rennaise qui joue une pop...donc acoustique. Une guitare légère mais non dépourvue de qualités emotionnelles, un chant (c'est cool d'avoir vécu aux USA, pas de problèmes avec l'accent : parfait et c'est bien rare) et un violoncelle pour les mélodies mais aussi des petits bruitages bien présents en guise de percussions. Bien sympathique...  

   
Webcity .fr
7 sept 200
Après une première partie remarquée de Vénus à l’Ubu, 
Dahlia investit la scène parisienne – en concert ce soir
 au Café Montmartre. Ils s’appellent Guillaume et Armel,
l’un est chanteur-guitariste, l’autre violoncelliste. 
Bretons sans prétentions, ils ont été élevés sur 
des rythmes blues ou pop. Et de leur différences, 
ils ont mûri leurs sons faisant de dahlia un duo aux 
résonnances chaudes et personnelles. Tout juste 25ans et 
déjà leur propres compositions, de leur rencontre fertile 
à Dahlia, Guillaume raconte…
Comment est né Dahlia ?
Guillaume : en fait, c’est l’amitié qui nous a mené à la musique. 
Armel est brestois a grandi sur des sons anglais. Et moi 
d’origine de Rennes, j’ai grandi aux USA et beaucoup écouté
de Blues. Alors c’est sur des rythmes de blues qu’on s’est 
trouvés. Lui est violoncelliste, moi guitariste, on peut parler 
d’une vraie complémentarité.
Bretons, musiciens, vous sentez vous concernés par le 
phénomène celtique ?
Je n’en suis pas très proche…N’ayant pas vraiment vécu 
là bas, j’ai découvert la musique celtique très tard. Elle 
est extrèmement riche et forte mais ce que l’on fait n’a pas grand 
rapport . Je ne me sens pas vraiment dans cette tendance.
Une première partie réussie à l’Ubu, quelques scènes betonnes et 
ce soir le Café Montmartre, comment imaginez vous l’avenir ?
Déjà l’Ubu représentait beaucoup. Cette scène c’est avant 
tout une légende, un mythe et être face à une salle pleine 
c’est forcément impressionnant. Aujourd’hui, jouer est une 
passion et ça le restera. Evidement, on cherche à pousser 
le groupe le plus loin possible… 
D’autres scènes sont prévues autour de Décembre et également 
l’enregistrement d’un album.
Dahlia a déjà son site web. Une performance ou un outil stratégique ?
Cela fait un moment que je gravite autour de ça et quelques années 
que je connais ce media. J’ai conçu le site dans le but d’être en 
contact avec toutes les personnes qui nous suivent. 
Il offre de réelles facilités de communication. C’est vraiment un 
super outil.